Logo du concours LOMUS 2012, Graphique: représentation des gammes majeures en spirale d'Elaine Chew extrait de 'Tonal Theory for the Digital Age' (Computing in Musicology 15).
Pour sa quatrième édition, Lomus 2012 s’adresse à tous ceux qui s’aventurent dans le développement de logiciels libres musicaux ou de logiciels libres qui peuvent contribuer au processus de la création musicale.
Un prix sera remis aux logiciels qui font preuve non seulement d’innovation, mais notamment d’inventivité face aux enjeux actuels de la création musicale.
Calendrier :
- 6 avril 2012 – Appel à soumissions
- 25 avril 2012 – Date limite de soumission des logiciels
- 30 avril 2012 – Notification d’acceptation
- 11 mai 2012 – Remise du prix lors des JIM 2012
Les prochaines Journées d’Informatique Musicale (JIM) auront lieu près de chez nous, à l’Institut numediart à l’Université de Mons, du mercredi 9 mai au vendredi 11 mai 2012 !
Informations : http://concours.afim-asso.org/
Pour rester constructif dans cette discussion, voici les références dont je parlais dans le post précédent.
Il y a eu le compositeur « Iannis Xenakis » qui a créé des oeuvres sur base d’un modèle mathématique.
Vous pouvez aussi découvrir, que Xénakis a conçu une interface informatique déjà très élaborée à une époque où l’informatique n’était encore que la « propriété » de certains intellectuels et autres informaticiens.
voici quelques liens :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Iannis_Xenakis
et pour l’interface graphique élaborée à l’époque :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Interface_graphique
Comme vous pouvez le constater, les travaux de « recherches musicales » ont déjà été menées, il y a bien longtemps.
Ha ! j’oubliais le lien vers l’UPIC plus spécifiquement consacré à la musique et relatif au sujet.
http://fr.wikipedia.org/wiki/UPIC
J’ai regardé le document tout en anglais, de la théorie mathématicienne, désolé, mais on n’invente rien de nouveau.
Utiliser les mathématiques pour faire de la musique, cela a déjà été fait au début du 20ème siècle.
La représentation en spirales est jolie, mais bon, qu’est ce que cela change à la musique ?
Quand aux universitaires qui font des recherches et qui parfois s’éblouissent d’avoir découvert…. le nouveau fil à couper le beurre !
hein ? bon !!
Ben voilà, un nouveau fil numérique à couper le jambon peut-être ?
Ha là là ! tout cela me fait bien rire et le plus fort, c’est que çà marche !
Va encore y avoir des « intellos » qui vont se gaver à Mons !
Décidément, çà s’arrange pas !
Quand je vois la représentation de la gamme sur l’affiche, je ne peux que dire qu’il s’agit encore d’une initiative d’universitaires complètement « allumés ».
L’écriture musicale est le seul langage écrits de manière universelle, compréhensible de tous et à la portée de n’importe qui. Pourquoi vouloir la ramener à une pseudo-écriture dont seuls certains « initiés » ont accès !?
Sur un autre plan, la musique expérimentale n’apporte pas grand’ chose à la société, car elle ne fait que réinventer le fil à couper le beurre, et là, je m’exprime en tant que musicien professionnel et compositeur à mes heures.
Depuis quelques temps je m’intéresse à « Lilypond » qui est un logiciel d’écriture qui est tout à fait « logique » pour un musicien, mais pas encore enseigné au niveau des conservatoires et c’est bien dommage.
Il me semble que tu juges rapidement ces « universitaires » « d’allumés ». Peut-être devrais-tu passer un peu de temps à lire l’article http://www.ccarh.org/publications/cm/15/cm15-04-chew.pdf ainsi que les références mentionnées… visiblement, l’accès n’en est pas limité.
Le propre de la recherche est d’essayer de nombreuses voies. Pratiquement tout ce qui est nouveau et utile dans notre monde actuel est passé par le stade de la recherche !
A propos de ta remarque orthogonale sur LiLypond, à quand un atelier d’initiation sur le sujet ?